Bureau du Commissaire

[PNJ : Daralia]

Daralia pénétra dans le bureau, et referma la porte derrière elle. Elle observa un instant l'homme qui était assis face à elle : grand et mince, on sentait à son regard qu'il avait une puissance enfouie, une puissance ainsi qu'une intelligence qui avait de lui le commissaire de cette ville réputée mafieuse.

-Tiens tiens, mademoiselle Daralia. Qu'y a-t-il d'intéressant pour que vous veniez me voir ?

-Je suis parvenu à repérer une planque de mafieux dans la rue Maria-Rosa. Je demande la permission d'aller avec une vingtaine d'hommes pour inspecter les lieux, et, si nous tombons effectivement sur quelques mafieux, à les mettre en arrestation.

L'homme sembla réfléchir, longuement. Daralia savait que c'était un homme perspicace, et qu'elle avait eut un mal fou à lui faire croire qu'elle était passée du bon côté de la loi.

-Permission accordée. Choisissez vos hommes, puis partez dès que vous le voulez.

-Nous partirons dès que possible, monsieur, termina Daralia en le saluant avant de sortir du bureau.

Elle passa encore une vingtaine de minutes à choisir une vingtaine d'hommes, en prenant deux officiers comme l'avait demandé son frère, puis ils partirent en direction de la rue Maria-Rosa

==> (Daralia) QG des Agostino

==> QG Gioli (Daralia)

La jeune femme pénétra dans les locaux de la gendarmerie avec une certaine appréhension. Les hommes ayant désobéi aux ordres allaient avoir de sérieux ennuis, et cela risquait d'être le cas pour elle si elle n'allait pas s'expliquer assez vite avec le commissaire.
Elle rentra dans le bureau sans toquer et ferma la porte aussi sec. L'homme assis face à elle prit tout de suite la parole :

-Mademoiselle Gioli, cela fait seulement trois heures que vous m'avez quitté en me laissant le rapport de l'attaque de la planque. Il était d'ailleurs complet, mais j'ai cru comprendre qu'il y avait eu un problème. Qu'avez vous à me dire là-dessus ?

-J'aurais du venir plus tôt, mais une affaire sur laquelle je travaille en parallèle à cette même attaque m'a obligée à faire un aller retour assez rapide entre ici et Fortenze. Et pour ce qui est du problème, je n'ai compris qu'à mon retour ce qu'il s'est passé. Nous pensions que des corps avaient du être laissés sur place, car il manquait quelques hommes au compte total que nous avons fait en revenant. A mon retour, un message m'est venu disant qu'il y avait encore eu des combats à Maria Rosa il y a environ une heure. Il semblerait que certains n'aient pas obéi aux ordres, malheureusement. Si ils ne sont pas encore rentrés, je me propose d'ailleurs pour aller les chercher, si vous le voulez, monsieur.

-Ce ne sera pas la peine. Peut-être réussiront-ils à blesser l'autre camp, mais j'en doute. Leur punition pour avoir désobéi sera de se débrouiller pour revenir. Si certains meurent, c'est triste, mais en ces temps, on ne peut se permettre de tels comportement. En revanche, étant donén ce qu'on a vu, je pense qu'il serait sage de former une équipe qui serait sous un co-commandement entre vous et un de nos officiers.

-Qui serait cet officier ? L'idée m'intéresse, mais je pense que vous avez déjà réfléchi à la question.

-Et bien en fait, je n'ai pas encore trouvé d'homme ou femme faisant l'affaire, mais ça viendra. En attendant, j'ai déjà sélectionné certaines personnes pouvant faire partie de l'équipe. Ils ne sont pas tous... de bons policiers, mais ils ont du potentiel pour la plupart, et cela serait également bon pour certains de travailler plus sérieusement. Vous les trouverez à la salle d'entrainement de la caserne.

-Très bien. J'y vais de ce pas, Monsieur.

La jeune femme salua le Commissaire puis ressortit de la pièce aussi vite qu'elle était entrée.

==> Salle d'entrainement de la caserne

M ouvrit la porte du bureaux ou ce trouvait le commissaire...

- M !!! Enfin te voila parmis nous !! A tu fait bon voyage ??

- Cesse de plaisenterie,vous savez trés bien que non,venir de Londre en italie a pied n est pas agréable..mais j ai quelque...astuce qui mon faciliter la tâche

- Hé bien,tu m en vois ravis,assied toi donc !! dit cette homme étrange,M sentait en lui quelque chose de spéciale sous ce corps long et fin...

Je supose,continuat le commicaire,que tu connais les raison de ta venue parmis nous,en ces temps de crise,rien ne va plus ici,heureusement nous gardont d exellent contact avec nos compatriote du monde entier,y compris l engletterre,grace a leur aide,il nous a été permis de demander la participation d un agent spéciale dans notre bonne vielle ville,venut aider les force de l ordre a ce faire entendre

- Tel est le but de ma venue effectivement...

- J ai lu ton dossier M,beaucoup de champs reste blanc,pas de prénom,de nom,de signe humain mise a part ta silhouette,il est dailleurd notifié dans ce dossier,que ta participation a du étre un peu "forcée" pour que tu accepte de venir a nous

- En effet,l état londonien a réussis l impenssable,ils on réussit a m arréter !!

- Oui,mais a ce que je vois,cela leur a couter 4 unitée,et 2 équipe de 8 tireur d élite

- Simple vengeance,coup pour coup,ils sont commit autant de crime que moi ce soir la...

- Alors dite moi monsieur M,qu est ce que le gouvernement Londonien a bien pu vous offrir,pour que vous acceptiez cette mission ?

M ce penchat en avant doucement,le masque souriant ce tenait presque contre le visage du commicaire

- Il mon offert....la mémoire ! A présent,je sais d ou je viens,et je sais ou je vais !

- Fabuleux ! dit le commicaire,a présent laissez moi vous donnez quelque information capitale,dans cette ville,la parole est a la mafia,et c est ce que nous voulont justement faire changer ! Vous n avez pas de cible préscise,je connais vos capacitée,analysé la ville,mélé vous a la foulle,et éliminez tout individut nuisant a la bonne vie de cette ville !!

- Croyez moi commissaire,je ne l oublierais pas

- Exellent ! permettez moi maintenant,de vous présentez les principaux officier :

L officier Terano gioli,est un agent spécialiste dans la mafia,elle est aussi capitainte d une équipe d apréhension et de capture de mafiosi jugé trop dangereux pour y envoyer de simple agent

A ces coter,l agent Coyote,Co capitaine,vous ne pourrez pas le ratez,il est batti dans la pierre,impulsif,et dotez d une force surhumaine

Ainsi que l agent Renato Volpine,le mettre 80 aizé,blond,munit dune matraque,c est un agent simple,assez apeuré

Je vous conseil vivement de rejoindre ces 3 agents,je crois qu il ce trouve dans la salle d entrainement

- Bien compris comissaire

Le comissaire ce leva,et tendit la mains a M...

- On va faire du bon...... mais heuu,ou est t il passé ??

M avait disparut...

- I faut vraiment que j arréte l alcool pensat le commicaire...


Salle d entrainement de la caserne

=> Accueil de la gendarmerie

La jeune femme observa l'homme assis au bureau. Un physique assez classique, une bonne cinquantaine d'années : le commissaire n'avait, à première vue rien d'exceptionnel, si ce n'était un détail : ses yeux. Des yeux qui indiquaient une volonté froide, puissante et impénétrable, ainsi qu'une force hors du commun.
La jeune femme eut un sourire : ne jamais juger sur les apparences, et elle savait de quoi elle parlait.

-Bonjour, monsieur le Commissaire, dit-elle d'une voix assurée.

Il eut un léger sourire, puis répondit, amusé :

-Bonjour, Mlle Ayleth. Vous vous sentez prête à intégrer le service ?

-Bien sur, monsieur.

-Bien. A vrai dire, vous êtes encore libre de votre temps aujourd'hui, mais dès demain, je veux vous voir en uniforme. Vous serez affectée à la 2° équipe de surveillance. Compris ?

-Oui monsieur ! Répliqua-t-elle avec un sourire. Est-ce tout ?

-Non. Le commissaire de Fortenze m'a dit le plus grand bien de vous : selon lui, vous êtes quelqu'un d'intègre, à cheval sur la justice, et très professionnelle. Tout travail mérite récompense, et j'ai pensé que vous apprécieriez celle-là.

Il ouvrit un tiroir et en tira une clef, qu'il lui tendit, en même temps qu'une lettre avec le nom de la jeune femme dessus.

-Votre futur appartement. Je sais que vous avez les moyens de vous en procurer un, mais visitez-le avant de refuser, j'y tiens.
"Quoi qu'il en soit, j'attends de vous le meilleur travail possible."

-Je ne travaille pas pour les récompenses, mais je suivrai votre recommandation, monsieur. Merci beaucoup, vous pourrez compter sur moi.

-Bien. Vous pouvez disposer.

La jeune femme inclina la tête et quitta le bureau. Quelques minutes plus tard, elle démarrait la voiture, le plan que contenait la lettre ouvert à côté.

=> Unknown (pour le moment !)

=>Arène de Domingo


Alenym avait couru de l'arène jusqu'au commissariat: autrement dit, il n'en pouvait plus; c'était une tête monté sur des jambes, et non l'inverse! C'est donc tout essoufflé et en sueur qu'il fit irruption dans le bureau de son supérieur.

-Commissaire! Qu'est-ce qui se passe?

L'interpellé afficha une expression étonnée, manifestement non feinte, il cligna des yeux et répondit par une autre question:

-...Devrait-il se passer quelque chose?

Le stratège en déduisit qu'il devait s'agir d'une guerre inter-familles de la mafia, puisqu'apparemment la police n'était pas encore au courant.

-Avec l'agent Xéloras, nous avons rencontré des mafieux, le combat s'est engagé mais interrompu brusquement, sous prétexte qu'ils avaient une chose urgente à régler. J'ai donc déduit que ça devait être une attaque surprise de mafieux ennemis aux Sapientos, puisque même les -apparemment- excellents combattants étaient réquisitionnés. D'ailleurs, j'aimerais consulter la base de données concernant les membres de cette famille, pour en identifier quelques uns, et la compléter.

-Oh... et à quelle heure est arrivé cela? Ah, et pour la base de données, bien sûr, j'en suis même heureux.

-Merci beaucoup, commissaire! Et c'est arrivé il y a une trentaine de minutes.

-Je vois... Le dernier scan a lieu dans cinq minutes, on verra bien ce qui ressortira.

Il se leva, Alenym le suivit. Vive cette belle invention permettant de patrouiller la ville sans y mettre le pied! Bien sûr, les patrouilles traditionnelles restaient nécessaires, mais bon, dans des cas comme ça...

Cinq minutes plus tard...

Top.
Des milliers de boîtiers métalliques dispersés un peu partout dans la ville émirent simultanément deux ondes: une longue et une courte. La première pour les souterrains superficiels, l'autre pour les environs en surface.
Dans une pièce du commissariat de Domingo, un immense écran géant s'illumina progressivement de points de différentes couleurs, tandis que les ordinateurs traitaient les images pour identifier les lieux où il y avait de l'agitation. Au bout d'une dizaine de secondes, la "patrouille" était achevée.

Quatre points, dont un plus gros que les autres, et plus violacé. Un combat en cours. Le terrain vague des planques de la mafia.

-Intéressant... Et pas une police dans le coin... Voilà qui confirme ma théorie! Commissaire, que fait-on?

-On laisse jusqu'au prochain scan. Il y en a trop pour l'instant, qu'ils s'affaiblissent en premier. On fera un scan exceptionnel de l'endroit dans dix minutes. Après, je vous laisse organiser quelque opération, après tout, vous êtes le stratège ici!

Le blondinet hocha la tête, et retourna dans son bureau, appelant Mugen pour lui demander de rester aux planques discrètement, car il y aurait sûrement besoin de lui dans quelques minutes...


=>Bureau d'Alenym et Mugen

Euh.... tu va avoir du mal a parler au commissaire vu qu'il n'est pas la, mais au QG des Gioli ._.

Flashback mode on then =w=

Pasque bon, sinon le fait que j'étais légèrement en contact avec lui le temps d'avant marchait pas non plus =w=

...


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*Manque d'idée powa* =w=