-Et maintenant, dans le cadre de l'aide pour le combat contre le crime et de la prévention contre la corruption, nous recevons en tant que policier modèle, l'Inspecteur Faust Sheldrake !!!
Le commissaire s'écarta du porte-micro d'un pas sur le coté tout en applaudissant, accompagné par la quasi-totalité de la salle. Ceux qui ne prenait pas par a l'enthousiasme envahissant la salle était blême et en sueur.
Un homme s'avança sur l'estrade, en direction du micro. Agé d'environ 40 ans, il était beau dans la catégorie d'homme mur, il était bien bâtit, avait des cheveux bouclés lui tombant aux niveaux des épaules, une barbe de trois jours de la même couleurs, et un oeil vert et l'autre brun. Il était habillé d'un t-shirt noir avec deux bande blanche parallèle partant de l'épaule droite jusqu'au flanc gauche, d'un jeans bleues lui permettant d'être a l'aise et de chaussure noires, le tout surmonté d'un imper en cuir marron lui tombant jusqu'au cheville. Un seule chose clochait : la manche gauche de l'imper qui pendait dans le vide a partir de mi-bras...
Il parcourra d'un oeil farouche, fière et autoritaire les rangs de policiers se trouvant devant lui qui ne firent plus un bruit. Il attarda son regard sur quelques-uns, ceux qui était blanc comme des cachets d'aspirine, et un petit sourire apparut sur ses lèvres, ce qui provoqua des grincements de dents.
- ... Il y en a beaucoup que je ne connais parmi vous, d'autres que je connais et encore d'autre que j'ai hâte de rencontrer ...
Le discours de cette homme impressionnant fut soudainement interrompu par un officier qui tomba dans les pommes. L'inspecteur ne dit rien mais il haussa légèrement les sourcils et son petit sourire s'accentua.
-En tant que "policier-modèle", je vais vous raconter l'histoire qui m'as poussé a combattre le crime, en esperant que ça vous dissuade de faire des ... disons des "bétises". Mais avant apporté moi un verre d'eau. Il prit le verre que lui tendit l'assistant de son bras valide et le vida d'un trait. Il le posa alors sur le pupitre, s'éclairçit la gorge et continua:
-Bon je suis né à Domingo il y a près de quarante ans dans une famille assez pauvre. Mon père était flic, ma mère femme au foyer. Petit j'allais souvent jouer dans les rues avec des gamins de mon age où on faisait alors les quatre-cents coups : On chapardait etc etc ... Je tenais déjà de ma mère certaines particularités que je ne puis révéler ici. Bref je vécus des années insouciantes jusqu'au jours où, comme tout Faust, j'ai rencontré mon Mephistoles.
J'avais dix et j'étais déjà bien musclé quand je me suis retrouvé sur une place où un homme était entouré par une trentaine de type en costume. Mon instinct de justice était déjà bien developpé et je choisis d'aider l'homme en position de faiblesse ... en trente seconde j'étais a terre, agonisant. Trente seconde, ce fut aussi le temps que mis l'homme a tuer ses assaillants une fois que j'étais a terre. La place était rouge et j'étais aspergé par le liquide vitale tandis que le mien s'écoulait de mon corps. L'homme attaqué s'approcha alors de moi, je n'ai aucun souvenir de son visage, et me remercia d'avoir voulu l'aider. Sa voix était lourd de sarcasme et de dédain : j'aurais pû être un animal de compagnie pour lui. Il me dit néanmoins que cette aide méritait récompense, comme on le dit a un chien. Il s'agenouilla, posa les mains sur mon front et ... comme un courant éléctrique me traversa. Tandis que je criais de douleur, mes plaies se refèrmerent. Tandis que je sombrais dans l'inconscience suite a ces soins érintants, il partit en me disant qu'il m'avait fait cadeau de quelques facultés. Puis le noir. Je me suis réveillé quelques jours après, chez moi.
Après cette accident, les années défilèrent a nouveaux sans interruption, a part la mort de mon père par maladie, et je suivit ses traces en entrant dans l'école de police de Domingo tout en découvrant, et en maîtrisant les pouvoirs que je devais a ce Mephistoles. A vingts ans, j'étais déjà capitaine, et je me faisais un petit nom dans le milieu. c'est lors de cette année que j'ai rencontré celle qui devint plus tard ma femme, Anya. Elle était mon adjoint, et bien que futé elle accumulait les gaffes. Nous nous mariâmes dans l'année et elle me fit don d'une fille un an après. Nous étions jeune, mais nous savions que dans cette ville, les policiers ne vivait généralement pas vieux. Que ne donnerait je pas pour ne pas avoir eu raison.
Sept ans après le mariage, alors que ma petite fille n'avait que six ans, je m'enlisa dans une affaire de la plus haute importance a propos du maire Libretti. je reçus nombre de menaces, mais je continua et enfin le dossier fut prêt : le premier document prouvant l'intervention du maire dans les domaines de la criminalités. J'étais fière en rentrant chez moi, j'étais le seul a avoir réussi cette exploit malgré les promesses de mort que l'on m'avait faits. J'ouvris la porte de ma maison tout en joie, sans remarquer que la serrure avait été forcé, et je m'arrêta. La salle était rouge de sang, et la tête de ma femme me regardait sur la table en face de moi. Son corps était déchiqueté et les membres éparpillés dans toute la pièce. Des larmes coulèrent sur mes joues en même temps que je refoulais une envie de vomir. J'aillais courir prendre les restes de ma femme dans mes bras quand une goutte de sang s'écrasant sur ma joue m'arrêta. Je regarda en l'air pour voir ma petite fille pendus par ces propres boyaux a la poutre. Je cria fort, dégouté par cette boucherie et par la nature humaine, fou, j'étais en train de devenir fou.L'homme s'arrêta de parler et regarda les policiers en rang devant lui. Beaucoup était maintenant pales. Certains sortaient de la salle, les mains sous la bouche.
-J'étais dans un états second quand je pris toute les armes que je trouvis chez moi. Je m'élança dans la nuit, vers le responsable de ce carnages, vers la mairie. C'est sur le toit de ce batîment que ce passa le combat de ma vie, je n'en connus jamais d'aussi éprouvant. C'est sur ce toit que je combatis le célèbre maire de Domingo. Ma puissance ne me servit qu'a survivre ce jour la, et encore au prix d'un bras. Je fêtais ce soir là mes vingt-cinq ans.
Suite a cet évènement, j'aurais pu basculer dans la folie. J'étais détruit aussi bien physiquement que mentalement. Si j'ai survécu a cette épreuve, ce fût grace au Commissaire. C'est lui qui me ramena aux commisairiat le soir de ma défaite en me sauvant des griffes de Libretti. Il fut celui qui m'aiguilla, qui fit de ma vie un combat contre le crime.
Les cinq années qui suivirent, je m'en servis pour m'habituer a mon bras dans un combat et à transformé mes faiblesses en avantages. Les dix années qui restent jusqu'a aujourd'hui, je les ai passé en tant qu'inspecteur et a combattre la mafia. J'ai notamment a mon tableau de chasse Bloodrain l'ancien chef du crépuscule des Sapientos et Haufmaaner, le chef de l'Aurôre de la même famille. Aujourd'hui mon but et de chasser, de retrouver tout les mafieus présents dans cette ville et de les capturer mort ou vif !!!Sheldrake frappa du point sur le pupitre ce qui fit sursauté tout les membres présent. Il se retourna alors vers son viel ami et fit un mouvement de tête a son attention. Le commissaire lui rendit et regarda l'inspecteur descendre de l'estrade et quitter la piece. Puis le chef de la police regarda ses troupes. Cetains se sentait vraiment très mal, ayant visiblement peur d'attirer l'attention du célèbre inspecteur. D'autres, la plupart, avait le regard en feu, souhaitant visiblement consacrer leur vie a la justice. Le commissaire alluma une cigarette tout en secouant la tête, malgré ce que disait son ami, Faust Sheldrake était vraiment un policier-modèle. Il a aussi un fils adoptif travaillant pour le moment au USA.
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Présentation mentales
Sheldrake est un homme fière, obstiné par la justice. Il est d'un caractère gentil et serviable bien qu'a première vue il puissent paraître rude et grincheux, surtout envers les enfants, mais peut, si ça lui permet de coincer un mafieux, devenir le pire des salopards. Il détèste la mafia, ainsi que toutes les familles. Il ne croit cependant pas en un monde utopique où il n'y aurait pu aucun crime. Intelligent et cultivé, il se repose aussi sur son experience. Un peu insociable depuis la mort de sa femme et de sa fille, son seul ami et le commissaire. Il a aussi un fils adoptif travaillant pour le moment au USA.
Accessoires/Armes
Il a toujours sur lui un mini-ordinateur holographique situé sur un bracelet connecté en permanence a tous les dossiers criminels. Son imper est doublé de plaque de métal et peut ainsi servir, faiblement, comme pare-balle.
Il est armé d'une matraque en bois, d'une en métal, d'un pistolet six-coup, d'un couteau de marines, et d'un fusil a pompe. Il porte a sa ceinture une ou deux grenade, ainsi que de sacoches remplis de graines. Il à, a la main, une mitaine avec des encoches sur chaques phalanges (ces encoches contient des pousses de lianes).
Enfin, Sheldrake a enfoncé dans son bras manquant une graine lui permettant de faire pousser un membre végétal.
Pouvoirs et Style de combat
Sheldrake possède de sa mère le pouvoir de se transformer en chat noir (avec deux rayures blanches en formes d'éclairs sur le dos), pouvoir pour la plupart du temps inutile dans les combats, ce qui lui permet de chercher des informations sans se faire repèrer.
Il possède aussi le don de manipuler la nature et les plantes depuis sa rencontre avec celui qu'il appelle Mesphitoles.
Il se bat en utilisant un style personnel, mais néanmoins efficace. Il utilise généralment ses pouvoirs pour se faire pousser un membre végétal, ce qui désastibilise un poil l'adversaire. Il fait aussi généralment pousser les pousses de lianes contenu dans ses mitaines afin d'immobiliser l'adversaire dans une toiles coupantes et de l'achever d'un coup de fusil a pompes. Il lance aussi quelques fois des graines sur l'ennemis et les fait pousser a une vitesse ultra-rapide, l'immobilisant ou alors il fait grandir sa matraque en bois ... Bref les opportunités d'attaques ne lui manquent pas.
Techniques
1) Sarments de Justice : Sheldrake utilise ici son pouvoir de manipulation des plantes pour faire jaillir des lianes coupantes et piquantes de son bras végetal et des encoches de ses mitaines. Alors tel un marionnettiste, l'inspecteur entoure ses victimes avec et d'une simple pression les immobilise ou les charcute. Cette technique lui permet dans un certains sens de pouvoir contrôler les gestes de l'ennemie. Elle peut aussi permettre a Faust de se déplacer en s'agrippant a quelques choses
2) Marteau de la Loi : L'inspecteur prend sa matraque en bois et grâce a son pouvoir lui fait prendre une taille gigantesque. L'instrument est alors assez lourd pour fracasser le sol et Sheldrake ne peut le porter que grâce a son bras végétal.
3) Sentence : La Mort : Sheldrake fait ici respirer inconsciemment a son ennemi, ou dans un objet/pieces, des spores et de minuscules graines. Puis il les fait grandir d'un coup. Je vous laisse imaginer ce que ça donne. C'est le Joker de Sheldrake, néanmoins il ne marche pas tous le temps et les spores peuvent dériver et ne sortir que dans un membres pas exemples.
4) Punitions florales : Faust met dans son fusil a pompe une balle contenant des graines et tire. Avec la dispersion qui caractérise le fusil a pompe, des graines s'envolent de partout que l'inspecteur fait germer: Une foret née favorisant le flic. Diffèrentes types de foret peuvent être créer (foret toxique, jungle, reposante ...)
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