Bar Dionisio (dans l'impasse Altiero)

Pardon de quoi?

je ... je ... vous ai confondus avec quelqu'un d'autre >< .... votre soe-

Il avait commencé de lire dans les pensées de Livio, mais il fut interrompu par Ambre qui coupa la parole de Perem. Il la regardit bizarrement (normal quoi.) tout en s'interrogeant quel problème avait les grecs et ce que voulait dire "éphèbe". Il allait lui demandé timidement mais elle avait l'air tellement plongé dans ces esprits qu'il ne voulut pas la déranger. [POURQUOI AMBRE N'A PAS DE PRESENTATION ? ToT Du coup il peut pas utiliser son pouvoir le Peremounet ]

Après avoir reprit un peu ces esprits, la jeune femme partit aux toillettes mais n'en revint pas. Bizarre bizarre. Perem s'inquièta même si il ne la connaissait pas

Elle ..... Il... Elle est où ? O______O

[pas envie de meubler ¤_¤]

=> Place de la fontaine

Coyote arriva sur place, le bar était étrangement plein. Il faut dire que c'est le point de rencontre de tout Domingo ( a peu de chose prêt ). Il s'installa à une table, laissant son épée et sa bague de côté, mais faisant tout de même un vacarme remarquable. Sa plaque de police étincelante éblouie certains clients qui... n'apprécièrent pas. Les plus intelligents reconnaissent 'Nodoka no Ken' et ne bouge pas, les plus idiots, et plus faible, avance doucement vers le policier. Ce n'est que son regards de braise qui les fit se rassoir.... Coyote impose vraiment le respect. Il compte bien augmenter sa réputation pour devenir LE FLIC de Domingo... Un symbole. Mais pour ça, il faut une défaite mafieuse plus officielle. OUI! Les Agostinos, ces rats qui se terrent et se cachent! CARTEN AGOSTINO! OUI! CET IMBECILE IDEALISTE!
Coyote garda son calme, et commanda un verre de lait.

Verre de lait? HAHA! Vous vous moquez de moi?

Mais le regard de Coyote disait l'inverse, et le barman chercha son meilleure lait, qu'il servit dans un grand verre. Coyote resta la, à admirer les lueurs violettes de sa bague, tout en sirotant son verre de lait...

Appart' vieillot de Pia

Entrant dans le bar, les yeux de Pia lui piquèrent. Autant de fumée de cigarette d'un coup, ça faisait un peu beaucoup...Même pour une fumeuse...
Peut-être allait-elle s'y habituer à force, mais pour l'instant c'était assez désagréable.
Beaucoup d'hommes. Elle n'aimait pas ces regards qui la scrutaient dans la pénombre. Non pas qu'elle se sentait en position de faiblesse, mais plutôt qu'elle n'avait pas envie d'attirer l'attention. Plus on ne la connaissait pas dans cette ville, mieux cela vaudrait. Prenant place au bar (bonne position pour entendre les potins de la ville), elle commanda un café au lait (avec trois sucres, elle déteste l'amertume) et essayait de comprendre de quoi parlaient les italiens. Depuis qu'elle trainait ici, elle avait comprit que les mafieux se composait de plusieurs familles, combien? Elle ne savait pas. Pour que les gens se taisent dès qu'un nouvel arrivant entrait dans le bar, ils devaient être beaucoup. Mais bon, elle c'était pas ce qu'elle voulait savoir vraiment.
La plupart des tables étaient déjà prise...Elle alla au bar et demanda un café au lait au serveur.En attendant que celui-ci la serve (car c'était long, quand y avait du monde...) elle fureta la salle, voire s'il n'y avait pas au moins une place potable quelque part...
Ah...Un flic.Quelle idée de montrer sa plaque comme ça dans une ville comme celle-ci...
Pia se rappela alors que elle, étant plutôt "enquêteuse"que flic, elle n'avait pas besoin de porter cet uniforme et cette "superbe" plaque, alors que les Flics à proprement dit, si.
Le barman ayant enfin daigné lui donner son café au lait, Pia se retourna vers la salle, et s'arrêta en face de la table du flic qu'elle avait vaguement vu dans les locaux. Un des uniques moment de sociabilisation de Pia? Elle se trouvait ridicule d'aller vers un gars comme ça ... jusqu'à ce qu'elle voit la bague.
Elle était restée debout devant le policier, les traits impassibles, ne laissant montrer aucune stupeur.
Puis elle regarda enfin le policier en lui même.
Une cicatrice lui barrait le visage,cheveux bruns, air sérieux, comme Pia,voire plus...
Plus question de faire l'associable quand sa mission était en jeu. La bague correspondait aux descriptions de tout les livres qu'elle avait dut lire pour se documenter sur cette drôle de légende.
-Hmm. Excuse moi, je peux m'assoir?
S'il fallait entamer la discussion, autant le faire le plus poliment qu'elle pouvait...L'avait pas l'air trop vieux non plus, et chez Pia, le tutoiement faisait partie de ces bases qu'elle n'avait pas assimilé...ou pas voulut assimiler...
Sa tasse de café dans les mains, elle attendit, le regard rivé sur son interlocuteur...ou plutôt les lunettes noires de son interlocuteur, la manière dont cela allait se passer.

-Hmm. Excuse moi, je peux m'assoir?

La jeune fille rousse était debout à côté de lui avec une tasse de café dans les mains. Il ne sait pas trop ce qui s'est passé, et même son entrée quelque temps avant l'avait laissé de marbre. Il décidé alors de lui laisser la place. Il enleva l'épée appuyée sur le tabouret et lui fit signe de s'avoir, tandis qu'il prit une autre gorgée de lait.
La regardant du coin de l'oeil, il joua avec la bague, la faisant tourner entre ses doigts. La bague maudite émit quelques petits éclat de lumière violets, ce qui permit alors à coyote de déraper et de lâcher son verre. Heureusement, il était près de la table, et le verre se posa doucement, sans éclaboussure.

Que veux-tu?

Coyote n'es pas dupe, une fille, dans un bar malfamé, allant vers un flic. Soit elle a un service, soit elle cherche de la protection ( il y a aussi une troisième option, mais Coyote n'est pas intéressé ).

Moi c'est Coyote.

-> Usine désaffectée

Chii marchait depuis plusieurs jours. Tselido ... elle ne savait toujours pas si c'était lui mais ce n'était pas à ça qu'elle pensait. Il lui avait rappelé tous ces mauvais souvenirs, ces quelques années qu'il lui semblait tellement proches et si ... douloureuses. Elle aurait tellement voulu oublier, mais sa cicatrice lui rappelait tous les jours [urghs, Alex my friiiiend]. La douleur ... elle était transpercé de toute part; le souvenir des ces cages, ces hommes habillés en blanc. Elle dût s'arretter, à plusieurs reprises, pour vomir de dégout, de tristesse.
Elle serpentait dans les rues de Domingo depuis plusieurs jours, accumulant en elle le chagrin et la faim plus le froid du vent s'engouffrant dans les petites ruelles.

Elle entra dans un bar par pu hasard,emportés par ces pas lents. Peut-être attirés par la chaleur de l'endroit.
La fumée de la cigarette lui arracha les yeux, ainsi que la forte odeur qui la fit tousser. Mais elle ne leva pas la tête pour autant. Elle s'installa au bar, plongée dans ces horribles souvenirs qui la torturaient, qui la transperçaient de toutes parts. Les larmes coulaient dans son corps, l’évocation de ces tortures, ces expériences, la mort injustes de ses parents alors qu’il voulait arrêter tout ce massacre, cette manipulation. Elle ne supportait plus. Elle devait réagir. Elle devait se venger ... Faire souffrir ... Tuer.

Le barman voulu prendre la commande mais la jeune fille ne répondit pas. Il resta quelques minutes à observer ce regard vide, déformé par la colère et la rage. Il lui servit un verre d’eau, l’alcool lui aurait attristé encore plus, voir même pleurer.
Pendant ce temps, la colère montait. Elle voulait se venger. Venger ces parents morts pour elle, morts pour tous ces enfants qui sont surement encore dans ce laboratoire, qui ne méritent pas toute cette douleur.
Elle se leva subitement, et leva la tête. Elle croisa le regard de l’homme de l’autre côte du bar qui la regarda d’abord avec un air étonné, puis horrifié. Sera-t-il sa cible ? Non … il ne le méritait pas. Elle tourna la tête. Certains la regardaient aussi, un peu méfiant de cet drôle de réaction et de son t-shirt qui était toujours plein de sang.
Son regard s’arrêta sur deux personnes. Une femme et un homme. Elle s’attarda d’abord sur la bague que l’une des deux personnes tenait. Une très belle bague. Un riche ? ça fera l’affaire. Elle marcha d’un pas rapide jusqu’à la table. Plus elle s’approchait plus la fureur montait. Mais soudainement, elle s’arrêta. Que voyait-elle briller sur le torse du jeune homme ? Un rictus malsain se forma sur son visage. Cette fois si, elle marchait doucement, savourant ce petit moment. Une fois arrivée devant la table, elle hésita. Faire tout de suite acte de violence ou en profiter encore un peu ? L’homme se tourna vers elle, alors que la policière garda le regard braqué sur la bague.
Elle craqua, l’excitation montait et elle devait se défouler. Elle donna un violent coup de pied sous la table qui la fit décollées. Coyote se la prit en pleine face sans avoir prit le temps de réagir. Plusieurs personnes se levèrent dans la salle. Mettant la plus part leur main à leur ceintures.

-Je suis Pia, j'imagine que ma présence au commissariat ne vous a pas marqué...en même temps je n'y suis que depuis deux mois...

Oh donc elle est venue y a pas longtemps. Coyote, toujours en vadrouille, ne l'avais jamais vu.

-On m'a donné un poste au bureau d'enquête, mais ces temps ci ils n'ont pas grand chose à me donner, du coup je ne fais qu'arrêter des mafieux, trafiquants et autres hurluberlus... Je donne aussi des coups de mains aux réparations des machines et bidouillages de systèmes...Bref.

Oh intérressant. Une collègue qui connait ce que Coyote ne connait pas = la technologie. Même si Coyote est jeune, il n'a jamais aimé tout ces trucs électroniques.

-Oui en effet j'ai une question à vous poser.

Coyote reporta tout son attention sur la jeune flic qu'il trouve étonnement intéressante!

-Ta bague, tu l'as eu où?

PAF! La question qui tue. Apparement c'était la bague qui intéressait Pia, évidemment, elle est tellement rare. C'était une mission secrète qu'il avait reçue, et dont l'employeur est mort. Il s'est approprié la bague.

Dans les dock de Tardez. Répondit notre Capitaine amer. Il se souvint alors de Sword.... bref. Il regarda la jeune femme avant de recevoir sa table sur ta tronche. Une jeune femme blond, avec un t shirt plein de sang venait de la lui envoyer dans la tronche. Il remarqua alors une carte dépassant de sa poche avec l'emblème de la famille Agostino...Inutile de vous décrire son état mentale, entre la colère et la joie.

Pia... Tu voit ça? C'est une mafieuse. Une Agostino...

Il prit alors son épée, sa bague, et donna un immense coup en direction de la jeune femme mafieuse en même temps qu'il détruisit la table d'un coup de poing.

C'EST MA CIBLE! OU EST CARTEN AGOSTINO? Dit-il à l'ombre qui ressortait de la fumée!

Elle évita sans problème l'épée, en se déplaçant rapidement sur la droite.

-Carten Agostino ? MAIS QU'EST-CE QUE J'EN SAIS ?

D'un coup de pied elle propulsa l'épée à l'autre bout de la salle, glissant entres les pieds de tous les gens qui étaient maintenant debout, certains leur fusil à la main, d'autres sortant du bar presque en courant.
Malgré le "c'est ma cible" tout le monde regardait Chii, prêt à attaquer. Ils pourraient surement en profiter pour abattre ce flic ou tuer cette mafieuse qui appartenait à la famille Agostino.
Mais la gardienne ne se distaya pas. Elle braquait son regard sur Coyote, ce bleu qui ne méritait rien d'autre que de mourir, comme ces "expériences ratés".
Elle se jeta sur lui. Oubliant son pouvoir. Non ... elle voulait l'oublier, elle en voulait pas de ce pouvoir
Elle le frappa au visage, plusieurs fois, larmes de colères montant aux yeux.
Elle voulait arretter, mais elle ne pouvait pas, elle devait tuer.

/!\Pereeeeeeem/!\

Perem sursauta en entendant la table se briser. Il tomba de sa chaise et fut écraser par une fille qui courait vers la sortie,prise de panique. Il rampa jusqu'à un lieu où il y avait moins de gens, bien sur, à l'opposé de la sortie. Il se mit dans un coin de la salle et écarquilla les yeux en voyant les quelques fusils que tenaient certains hommes. Il poussa un cri qu'il étouffa rapidement lorsque l'épée arriva dans sa direction.

BLABLABLA DOIS ARRETTEEER.

Place de la fontaine

Sheldrake se demanda si Coyote le reconnaîtrait sous sa forme féline, tandis qu'il arrivait au bar.
Mais l'ambiance n'était pas normale, certaines personnes s'enfuyait du batiment, tandis que d'autres, armés, y couraient. Sheldrake reprit aussitôt forme humaine, héberluant certains "gens".

-Le port d'arme n'est pas autorisé sans permis, je les confisque et si vous voulez les récuperez présentez vous au commissariat avec le papier sus-nommé.

Aussitôt dit, aussitôt fait, Sheldrake se fit pousser un bras végétal et attrapa toutes les armes des personnes se dirigeant vers le bars avec des lianes. Il coinça les armes dans cette partie du corps, ce qui le faisait ressembler a un androïde avec des fusils sortant du bras.
Il poussa la porte du bar, et tomba sur une scéne pas banale. Tous les hommes présent avaient sortis leur armes et une femme se battait a terre avec Coyote. Sheldrake eut tout juste le temps de voir une lame qui fonçait sur un petit garçon. L'image de sa fille s'imposa dans son esprit et une liane partit rapidement d'une main végétale, comme un fouet, pour s'emparer de l'arme et la ramener a l'insecteur.

-C'est pas bientôt fini ce bordel !!!

Faust appuya sa phrase d'une détonation de son fusil a pompe qu'il avait dégainé de sa vrai main.
Tout le monde s'arrêta sauf la fille qui continuait a frapper le capitaine. Sheldrake s'avança vers elle, lui donna un coup de pied dans le ventre, l'envoyant valser vers le comptoir. Il s'avança une nouvelle fois et appuya le canon de son arme sur la tempe de la jeune femme.

-Maintenant tu va te calmer !!! Et bien Coyote, tu te fais vieux ou quoi ?

Tandis qu'il prononçait ses phrases de la façon la plus simple du monde, les armes fixé dans son bras se tournèrent vers les hommes encore armés, les dissuadant de faire un mauvais geste.

Chii :

Chii ne se sentait plus, elle tapait avec une force incroyable en étant si fragile. Elle fut propulser à terre par un homme qui la frappa au ventre. Elle se cogna contre le bar et l’homme lui mit son arme sur la tête.
Cette action la résonna. Elle se rappela pourquoi elle était fâchée et sa colère se transforma de nouveau en tristesse. Elle baissa son visage et le prit dans ses mains. Les larmes de colère étaient maintenant des larmes de douleur. Elle pleurait abondement.

-Désolé ….. désolé ... j’ai pas été capable de vous sauver … pardon.

Elle voulait oublier, s’évader à un endroit où rien ne pouvait lui rappeler ces mauvais souvenirs. Partir au loin.
Mais elle était loin de là, pour le moment elle allait surement finir en tôle. SAUF SI CARTEN AURAIT L’IDEE DE SAUVER CHII. [elle sert vraiment à rien. Elle doit se faire sauver par tout le monde]

Perem :

Perem sursauta de nouveau, Chii était à quelques mètres d’elle, ainsi que cet homme que le garçon vit plus comme un monstre qu’autre chose.
Il « lisait » la fille. IL prit de la peine pour elle. Il était le seul à pouvoir comprendre ce qu’elle pouvait ressentir. Il se leva, pris son courage à deux mains et se mit devant Chii, la protégeant.

-LA TOUCHEZ PAS >_< Elle voulait faire de mal à personne …. Elle s’est emportée, c’est tout >.<’

Mais Perem se rendit compte de ce qu’il venait de faire. Qu’il était devant un mec trèèèès bizarre et qu’il avait un flingue dans la main et plusieurs dans le dos. Il reprit sa tête de débile-ahuri qui ne le rendait plus aussi convaincant qu’avant. Il espérait juste que les deux hommes auraient un peu pitié et qu’ils lui pardonneraient.

Coyote se fit frapper plusieurs fois, et il ne bougeait pas. Il encaissa chaque attaque. Puis Sheldrake arriva. Sheldrake? Ce vieux Matou est à Domingo? Il l'avait croisé lors d'une mission et le reconnu directement! Il se leva après la remarque de son "collègue" et évita son regard.

Pff... Je vais pas frapper une fille qui pleure....

Il regarda Pia.

Repos!

Il entreprit alors de faire évacuer à coup de moulinets d'épée en l'air, les quelques malfrats ici. La scène se concentra alors sur la jeune fille en pleurs et le jeune garçon. La fille en elle même ne l'intéressait pas vraiment, mais il eu une idée. Il fit signe à Pia de mettre des menottes aux deux personnes ici présentes.

On les emmènes au poste! J'ai un plan!

Le plan en question : Attirer Carten Agostino en lui disant que l'un de ses hommes est entre ses mains. Quand au jeune garçon.. Bah il sera vite libéré! C'est juste au cas où... Solidement, Coyote, avec sa bague, tenait Chii ( Donc ses pouvoirs sont neutralisés ) et la fait avancer, doucement, sans la brusquer. Il fit de nouveau signe à Pia pour qu'elle emmène le jeune garçon, et il lança un regard Rageur à son supérieur, façon de dire " je pouvais m'en occuper ". En marchant, il se reprocha de la jeune femme flic.

Quand j'aurait fini avec Carten Agostino, tu pourra avoir la bague.

Puis il avança vers le commissariat!

( Comme ça Chii, tu pourra poster pour deux u_u )

=> Bureau de Coyote

Pia n'avait pas eu besoin de rentrer dans la bagarre. Juste quelques bourrés à retenir, qui voulaient faire parti de l'action...
Un homme imposant était ensuite arrivé, une lianne à la place d'un de ses bras...Mais c'est quoi ces gens???
Coyote et l'autre avaient l'air de se connaitre...L'homme était un flic? Il n'avait pas de plaque, elle ne pouvait pas savoir.
Elle rengaina son arme instinctivement lorsque Coyote lui fit signe, et s'approcha de la femme, et du jeune homme qui prenait sa défense.
Elle ne comprenait pas pourquoi Coyote voulait l'emmener au poste, il n'avait pas fait grand chose de mal...M'enfin.
Pia menotta la femme et l'autre, et leur ordonna de ne faire aucun geste.
On les emmènes au poste! J'ai un plan!
Qu'est-ce qu'il avait dans la tête lui? Elle le suivit, précédée des deux détenus qu'elle surveillait,surtout sur la femme.
Cette dernière avait d'ailleurs un comportement assez étrange...Pourquoi s'en voulait-elle d'avoir attaqué Coyote, alors que lorsqu'elle lui avait balancé la table à la figure, elle avait un air farouchement jouissif?
Elle en avait vu,des gens qui regrettaient leurs actes,soit parce qu'ils avaient été aveuglés par la rage, par la tristesse, par le désir de vengeance...par un taux d'alcoolémie un peu fort dans leurs corps aussi.
Sans comprendre vraiment pourquoi, Pia ne voulait pas que ce soit un de ces gros bourrins de collègues qui fassent l'interrogatoire obligatoire de la femme. Elle demanderait à Coyote que ce soit elle qui lui fasse passer.
Elle lui demanderait aussi quel était ce « plan »...Et qui était Carten Agostino. Et si elle pouvait avoir la bague ne serait-ce que pour l'étudier, une soirée...

Bureau de Coyote

Coyote avait mal pris sa tirade et son intervention ... franchement antipathique comme personne. Sheldrake le vit quitter le bar avec la jeune femme qui l'avait attaqué et du jeune homme que l'inspecteur avait sauvé, qui en passant le regardé comme un monstre. Il vit aussi une jeune femme, rousse, la vingtaine, partir avec le capitaine : surement la bleue dénommé Pia. Sheldrake ayant besoin de Coyote, il suivit la petite troupe après avoir pris une cannette d'une célébré marque de boisson pétillante. Et en adressant une petite phrase aux personnes qui restaient dans le bar:

-La prochaine fois que je viendrai, l'ambiance aura interet a être plus chaleureuse, sinon je vous colle tous au trou. Et pour ceux qui AURAIT un permis de port d'arme, pour les récupérer, passer a la gendarmerie.

Gendarmerie, Bureau de Coyote.

=> QG Agostino

Misa ne s'était pas attardée à faire des détours inutiles, elle avait un chemin plutôt court dont elle avait l'habitude. Sur le chemin, elle n'avait rencontré personne et c'était tant mieux. La demoiselle entra dans le bar comme si il s'agissait de sa propre maison. Elle s'installa au comptoir. Le fait d'être habillée que de la chemise de Carten ne la gênait pas du tout. C'est alors que le barman vint discuter avec elle, il avait l'air d'être habitué à la voir ici. Même sa tenue ne le choquait pas. Elle lui demanda de lui servir quelque chose à boire, une boisson assez forte pour la remettre d'aplomb. Elle jeta un rapide coup d'œil à la salle et aux personnes présentes mais rien n'avait l'air intéressant. Enfin, c'est ce qu'elle croyait...

[comme j'ai rieeeen suivi de cqui s'est passé avec la flicaille, je vais faire abstraction ]

Il y eut un moment d'agitation dans le bar pendant lequel Livio pris ''congé'' dans les toilettes, histoire de n'être mêlé a rien, de ne rien recevoir dans la tronche mais aussi de...faire ce qu'on fait habituellement dans les toilettes. (faire un poker avec la chasse d'eau, évidement.)
En sortant des toilettes, son regard fut tout de suite attiré par une jeune femme assise au comptoir, joliment vêtue, d'une simple chemise un peu trop grande pour elle. Cette demoiselle aux cheveux bleus turquoise avait...beaucoup d'arguments de charme, ce qui plut énormément a livio, qui se dirigea presque instinctivement vers la demoiselle. Il prit place sur le tabouret de bar a coté d'elle et lui fit un de ses fameux sourires ''charmeurs''.

-Permettez que je vous offre votre boisson chère jeune fille?

Il lui prit la main dans l'intention de lui faire un baise-main et continua afin de se présenter.

-Livio, enchanté =)

Apparement la jeune fille était convaincue du ''charme'' de livio et se prêtait même joyeusement au jeu. Son nom était donc Misa.

-charmant prénom. vraiment. est-ce moi la bonne chose en question?

bien sur que c'était lui, et il le savait très bien, ça ne pouvait rien être d'autre (et sa boisson, tête d'ampoule 8D) mais son petit plan dragouille l'amusait follement et qui plus est, cette Misa était totallement a son gout, un joli minois, une peau qui semblait plus que douce, des beaux cheveux, et de magnifiques yeux couleur rubis, sans parler de...ses arguments....feminins.
La jeune fille n'était donc habillée que d'une chemise, pas que c'était déplaisant a l'oeil mais...

-dites moi, charmante demoiselle, n'auriez vous pas froid dans cette simple chemise? =O

Misa laissa un sourire en coin s'installer à la question du jeune homme. Elle savait très bien qu'il jouait la comédie et cela plaisait fortement à la demoiselle. Il était rare de trouver des personnes dans le même style que miss Misa, c'est-à-dire, charmeuse et plutôt bonne actrice. Enfin bref. Elle répondit par un simple "c'est évident" d'une voix mélodieuse avant de boire une autre gorgée de sa boisson. Le barman était retourné s'occuper de d'autres clients, laissant les deux jeunes gens tranquilles. Il faut dire qu'il connaissait les habitude de notre chère Misa. Elle le regardait avec son regard bien caractéristique (vous savez le genre de regarde de femme fatale XD). Puis Livio lui demanda si elle n'avait pas froid dans cette tenue. Misa baissa la tête pour regarder la chemise, elle l'avait totalement oublié. Cela ne la dérangeait pas du tout. Elle répondit naturellement.

"-Eh bien, ne n'est pas gênant. Question d'habitude, je dirais. Mais maintenant que vous me le dîtes, c'est vrai qu'il fait un peu froid."

Elle fit une mine agacée, histoire de renforcer sa phrase. Il était évident qu'elle n'avait pas dit ça au hasard, elle attendait quelque chose ou une réaction de la part du jeune homme.

(Misa ou l'art de la comédie.... XD)

Il n'y avait pas a dire, le regard de la jeune fille était véritablement envoutant, très charmeur, et cette beauté. Livio se serait laissé embobiner plus d'une fois par une jolie jeune fille s'il n'avait pas été lui même un baratineur de première.
La jeune fille lui confia qu'il ne faisait pas spécialement chaud en effet, et il voulait bien la croire, la, comme ça, simplement en chemise, elle ne devait pas avoir chaud. il fouilla sa poche a la recherche de sa carte bleue, et en la montrant a misa, il fit un de ses plus beaux sourires.

-Que diriez vous, jolie demoiselle, que je vous offre de quoi vous habiller plus chaudement? inutile de préciser que j'insiste =)

Il pouvait bien se permettre une telle dépense, quelle qu'elle soit, vu son sympathique compte en banque bien rempli, il pouvais même offrir a la demoiselle plus d'une robe, il pouvait certainement aller jusqu'au magasin entier. Il leva son royal popotin derrière et tendit la main a misa, espérant qu'elle accepterais sa proposition.

Livio déposa quelques billets sur le comptoir, histoire de régler la consommation de la jeune fille et la pris doucement par le bras, comme un parfait gentleman l'aurais fait.

Voyons, je connais une petite boutique ou ils vendent de magnifiques robes, qui seront j'espère a votre taille, allons-y, chère amie ^^

Il salua le serveur, et se dirigea lentement vers la porte, un sourire presque triomphal accroché au visage.

[woula poste hypra court, sowwy]

Centre-Ville

Gungun Land - Entrée du Parc


Ganbino passa la porte du bar. Les quelques consommateurs présents levèrent la tête une demi-seconde pour appercevoir le nouveau venu. Puis ils se reconcentrèrent sur ce qu'il paraissait le plus important à leur yeux en cet instant précis : la descente de leur boisson.

"Y'a que des poivrots là-dedans, génial. -_-"

Il se dirigea vers une table libre au fond de la pièce. Le serveur l'y rejoint après avoir esquivé une bouteille qui "volait" par là.

"Que désirez-vous?"
"Hm, de l'eau non croupie, vous avez?"
"_\/_' "
"Non? Ben ce sera un coca alors."

Le serveur, toujours outré, s'en alla récupérer la commande. Ganbino s'affaissa complètement sur sa chaise. Il était fatigué. Il ne savait même pas depuis combien de temps il parcourait la ville, ses pieds devaient être recouverts d'ampoule, voir même être devenu une seule et même ampoule.

"Moi et mon sens de l'orientation à deux balles... -_-"

Batty sortit sa petite tête pour regarder autour d'elle. L'ambiance générale de l'endroit avait l'air de lui déplaire.

"T'inquiètes pas, on partira dès que j'aurai mon Coca."
"Voilà votre..."

Le serveur se figea en voyant la chauve-souris logée dans son antre capilaire.

"Les animaux sont interdits ici monsieur. _\/_' "
"Euh...elle dérange pas."
"Ce n'est pas la question! Vous devez la laisser dehors! ><"
"Pas question. _\/_"
"Gh...! OO' "

Ganbino se leva de sa place, tel un zombie.

"Touchez à un de ses poils...et je vous envoie cinquante doses de plomb, pigé? _\/_"

Soudainement, un colosse de plus de 2 mètres (50?) apparut.

"Y'a un blem?"
"_\/_' "

La fuite s'imposait désormais...


Centre-ville - Place noire

=> Sheldrake house

Coyote était arrivé en premier sur les lieux, mais malheureusement pour lui, les lieux étaient déserts. En fait, la panique de la " pancarte " avait atteins une grande partie de la ville, qui s'était quasi vidée sur le coup. ON voyait juste quelques gens qui jouait les gros durs sur une table, même si leur transpiration ne laissait rien présager de bon. Le barman, par contre, était serein, a vrai dire, il préfère mourir avec son bar plutôt que de l'abandonner. Ce que Coyote ne savais pas, c'est que ce bar risquait effectivement sa peau. Un silence de mort pesait sur l'endroit, alors que le chasseur de mafieux était en train d'attendre son supérieur, le matou. Une odeur empoisonnée emplissait l'endroit.

=> Sheldrake-House

Un chat noir avec deux rayures blanches en formes d'éclair sur le dos arriva en face du célébre Bar Dioniso, concentration de racaille mais de aussi de banal personne venu boire un coup.
Il était en retard car il c'était arrêté pour écouter une conversation antre deux personnes, comme quoi le marché noir de la ville avait été détruit.
il avait aussi perdu du temps en se retransformant car on lui avait envoyé une photo prise sur la place des 7 personnes. Puis il s'était remis en route.
Il arriva maintenant et ce posta a coté, toujours en chat, de Coyote, Saya n'était pas la, Faust l'avait semé.
Normalement après le marché noir, la premier lieu a se faire attaquer serait le Bar. C'était un repaire a fripouille mais l'inspecteur ne pouvait pas le laisser se faire détruire sans rien faire, même si c'était un ordre du gouvernement.

-La Marché Noir été détruite ... le Bar est surement la prochaine cible ...

Le chat se nettoya avec la patte droite l'oreille, puis il s'immobilisa a nouveau:

-Coyote, on va pas les laisser faire, même s'ils sont aussi puissant qu'on le dit, cette ville, c'est la notre. Tu te souviens quand on s'est rencontré il y a deux trois ans ? Quand on a été envoyé dans une équipe de 6 et qu'on avait pour ordre de tuer le parrain de cette secte mafieuse, la, l'Etoile Sainte je crois ...

Le chat s'arrêta et regarda autour de lui, prêt a passer a l'action:

-On fut les seul survivant, toi et moi, mais c'est pas le parrain qu'on a tué, on a détruit la Famille entière.

Le chat leva son visage sur l'homme aux cicatrices:

-J'espère que t'es pas rouillé le Chasseur.