Arrivée en ville

Invité

Nero descendit du train à la "ville du futur". Il devrait rallier Domingo avec un autre moyen de transport. Nero n'était pas encore très à l'aise dans son nouveau costume qu'il avait acheté à la dernière escale. Il avait sa valise, elle n'était pas très grande mais elle contenait l'essentiel de la vie du mafieux.
Le mafieux attrapa son porte-monnaie dans sa poche et il découvrit quelques petits centimes, de quoi s'acheter trois ou quatre bonbons dans la boulangerie du coin. Alors qu'il marchait un peu au hasard des rues à la recherche d'un moyen plus ou moins légal de se faire quelques billets. Bien vite il se rendit compte que ce n'était pas la peine de songer au vols ou autre moyens illégaux, car la ville était pleine de force de l'ordre, bien vite deux flics lui demandèrent ces papiers. Quand ils découvrirent son origine française, ils se regardèrent, lui rendirent la paperasse et lui dirent de circuler. Nero repartit et sentit très vite que les deux policiers le suivait.

Nero se mit sur ses gardes, il arrêta un taxi, monta et lui demanda d'aller à Domingo au plus vite. C'est seulement une fois sortie de la ville qu'il put se détendre. Mais il se rappela vite son manque d'argent, la solution était simple, mais Nero trouvait ça dommage de commettre son premier meurtre sur la terre italienne moins d'une semaine après y être arrivée.

Nero passa l'entrée de la vie, Domingo était une ville qu'il appréciait déjà plus que Fortenze. Il demanda au taxi de s'arrêter dans une ruelle d'un quartier qui semblait mal fréquenté, puis il mit sa main devant la bouche du chauffeur et il lui fit avale un poison tuant rapidement. Un moins de 20 secondes, le chauffeur mourut.
Nero sortit de la voiture avec sa valise. Il se dirigea calmement vers le centre ville. CE quartier était remplit de flics, pourtant, il y avait une atmosphère étrange qui planait.

Il entra dans un petit bar et il demanda au barman :
- Qui diriges l'établissement ?
- Eh bien c'est Monsieur Da...
- Non, non, on c'est mal compris, quelle Famille, dit-il plus discrètement.

Pourtant un homme l'entendit, il s'approcha et...

Kramp venait d’atterrir devant un vieux bar de la ville qui était contrôlé par les Sapiento, après le combat qu’il venait de livré il avait assez soif. Il entra donc dans le bar, sa veste brulé par-dessus son épaule et se dirigea vers le contoir quand il entendit quelqu’un demander à qui appartenait ce bar, enfin plus précisément à quel famille il appartenait. Drôle de bonhomme, il semblait être nouveau dans la ville, s’il avait été membre d’une autre famille il ne s’y serait pas pris comme ça pour avoir l’information désiré et la police même si elle ne faisait rien, elle savait plus ou moins qui contrôlait quoi. Intrigué, Kramp s’assit donc à coté de lui et commanda un whisky, il lui fallait quelque chose de fort après un tel combat, certes il n’était plus blessé maintenant grâce à son pouvoir de guérison mais cela faisait toujours du bien au corps et à l’esprit une petite boisson. Quand il fut servi il regarda son verre attentivement comme s’il cachait quelque chose puis tout naturellement il s’adressa à l’inconnu.

"Et bien monsieur, pourquoi donc voulez vous savoir à qui appartient ce lieu ? Il est à son propriétaire tout naturellement et à personne d’autre."

Kramp sourit à son interlocuteur, il jouait le gentil homme habitant une gentille ville et qui était dans un bar quelconque, dirigé par des gens quelconque. En réalité il était vrai que ce bar était un peu particulier, la vérité était qu’il appartenait à Kramp. Enfin pas directement mais ce lieu était l’endroit où les voleurs de la famille se réunissait et donnait leur butin. En sa condition de chef des voleurs Kramp était ici chez lui et il semblait au vu de la tête des gens se trouvant dans la pièce que la nouvelle de sa récente promotion était passée par là. Mais la seule personne qui l’ignorait été cet étrange individu. Quand même, pourquoi voulait il donc savoir quelle famille occupé les lieux ? Il fallait le savoir.

[ Steuplait Kramp, oublie pas de dire d'ou tu viens et ou tu va ]

Invité

Nero avait été accosté par un homme, il le trouvait peu naturel. Il regarda un miroir situé derrière le barman et il vit que presque tous les clients fixaient celui qui jouait au gentil type. Quand Nero se retourna vers la salle, les regards de la clientèle se détournèrent tous. Il ne fallait pas être particulièrement intelligent pour deviner que le gentil bonhomme ne devait pas l'être tant que ça en vérité.

"Il est vrai qu'il appartient à son propriétaire, mais j'ai entendu dire que tous ici avait des "protecteurs" et je cherche à rencontrer ses personnes, car à vrai dire, je suis nouveau dans la région et je cherche une activité..."

Nero décidait de dire tout simplement ce qu'il faisait, il avait à peine dissimuler ses propos, si l'homme faisait partie de la famille qui gérait cet endroit, il pourrait aider Aravert à entrée dans le milieu.
Le français avait vaguement entendu parler de quelques familles local, mais il n'avait pas obtenu beaucoup d'informations. Il prit un billet dans la poche intérieur de sa veste, et demanda un verre au barman. Nero savait que son interlocuteur avait put voir un de ses pistolets. Il fallait montrer qu'il n'était pas le premier crétin venu et qu'il était sérieux.

Kramp écouta se que l’individu avait à lui dire puis bu d’une traite son verre de whisky puis en commanda un autre. Il était donc à la recherche d’une famille a aidé ou intégrer une famille mafieuse, il ne semblait pas en chercher une particulièrement sinon il aurait tout de suite dit le nom de la dites famille. En tout cas il été sérieux, le chef de section pouvait voir un pistolet, déjà ce n’était pas un flingue de flic au moins. Kramp se tourna sur sa chaise afin de sa mettre en face de son interlocuteur.

"Si vous voulez rencontrer ces protecteurs comme vous dites je vous conseil d’avoir un quelconque talent. En avez-vous un ? Si oui, il se pourrait peut être que vous n’ayez pas fait tout ce chemin pour rien."

Il fallait espérer pour lui qu’il arrive à impressionner Kramp sinon soit Kramp été gentil et le dégager dehors en lui disant de rentrer chez lui soit il le tuait sur place histoire qu’il ne gène pas trop les Sapiento.

Finalement tout ceci n’intéressé pas Kramp, se n’était pas son rôle de recruter des personnes qui allaient peut être devenir de simple hommes de mains. Son interlocuteur ne bougeant toujours pas, le chef de section pensa naturellement que celui-ci n’avait au final aucun pouvoir valable pour la famille. Rester avec lui était donc une perte de temps, Kramp avait bien mieux à faire que de resté avec cet individu, un vrai chronophage.

*Pourquoi suis-je donc encore là ? Il vaudrait bien mieux que je retourne m’occupé de se que veux mon maitre, là bas au moins je fairais quelque chose d’intéressant et d’utile*

Ainsi, Kramp se leva sans dire un mot, bu son nouveau verre de whisky et partit naturellement sans payer. Le barman tenta un bref ‘’monsieur’’ pour signaler que Kramp n’avait pas payé mais celui se retourna et lui lança un simple regard qui renversa littéralement le barman. Après ça de fait le chef de section sortit par la porte et quand celle-ci se referma il ouvrit un portail sous lui afin de retourner faire son travaille de collecteur.

» Arrivée à l'entrée de la ville de Tardez
» Entrée de la ville : point de passage.
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