Entrée de la ville : point de passage.

Alenym arriva au point de rendez-vous sans problèmes, donc rapidement. Heureusement, il ne voulait pas faire attendre le nouvel arrivant et son nouveau partenaires: autant bien commencer leur relation...

Une fois sur place, il promena son regard autour de lui. On lui avait donné comme seuls signes distinctifs la couleur des cheveux et des yeux. Mais étant bien conscient que ça ne suffirait pas à le reconnaître, le stratège était allé chercher son dossier, et avait retenu le principal: cicatrice sur l'oeil droit. Peu de chances de se tromper, en sachant cela.

Il aperçut l'homme en train de fumer, il s'approcha, voyant peu son visage à cause de la fumée. Il constata le balafre sur l'oeil droit, et sourit. Il marcha vers lui, et quand il fut en face, il passa au formalités. Peu de chances de se tromper, mais bon, valait mieux respecter le protocole... avec le sourire, bien entendu.

-Bonjour! Alenym Lardio, policier! Êtes-vous Mugen Xéloras, le nouvel arrivant?

Mister blondinet avait l'air plutôt réceptif a son envie de sauver le monde, et qui sait, peut être que lui aussi avait un quelconque pouvoir qui pouvais être un minimum utile.
Il lui serra vivement la main (quoi que ''lui secouer violemment de haut en bas'' est plus appropriée comme expression) en se présentant.

-Bon alors, moi c'est Ariel vincenzo, c'est quoi ton p'tit nom blondinet?

C'est vrai ça, c'est cool d'avoir un partenaire, aussi faible soit-il, mais son nom? il n'allait quand même pas l'appeler blondinet jusqu'à la fin de sa vie. Quoi que.
Mais non, ce surnom ne respirait certainement pas la classe, et avoir un compagnon pas classe, cela nuirait horriblement a son image de marque, super héros oblige.
Il lâcha la jeune fille rousse qu'il n'avais pas lâchée depuis le début et regarda autour de lui.
Plus le temps passait, plus l'entrée de la ville se remplissait. Il posa alors sa main sur la bouche du blond.

-Stop, ne m'dis rien, on va d'abord changer de crèche.

puis il le choppa par le bras et l'entraina dans les rues de la ville.

=> ruelles

-...

Le silence depuis plusieurs secondes. Alenym écarquilla légèrement les yeux, leva le sourcil droit, peu habitué à une personnalité aussi silencieuse.

-All...?

-Bingo ! C'est bien Mugen, bon petit blond on va se poser dans le bureau, et on discute ça sera plus tranquille.

Il s'apprêtait à lâcher un commentaire acerbe sur le "petit blond", mais n'en eut pas le temps. En plus, même si son silence nonchalant qui avait donné une mauvaise impression au blondinet, son ton l'avait effacée, et surtout, la suite, qui contrastait tant avec le calme froid d'il y avait quelques secondes qu'Alenym ne put s'empêcher un sourire. En guise de réponse, il pointa le chemin d'où il venait, et ajouta avec le sourire:

-Je peux t'aider à porter tes bagages?

Sans attendre de réponse, il empoigna une (petite) valise.

Il le regarda, d'un air joviale, et reprit tout de suite sa valise, et son sac de sport. Il ne voulait pas que son sac soit porté part son coéquipier surtout qu'il était habitué à le faire lui même et de n'avoir jamais reçu d'aide.
De plus cette valise, était une valise personnelle, il ne voulait pas que Alenym voit ce qu'il y avait dedans, son regard était pensif, il n'arrêtait pas de la regarder...

Mugen était encore très mystérieux... Il trouvait que Alenym était trop serviable et agréable, cela lui paraissait bizarre, mais pas inhabituel. Il prit la direction du commiceriat, bientôt, il serait arrivé. Il ne parla pas jusqu'au milieu du trajet...
Puis, il rompit le silence, pour poser une question qui le tracassée...


- " Dis moi, je peux te tutoyer ?
Et je dois te demander, tu vas me prendre pour un fou, mais as-tu des pouvoirs magiques... ?

Il regarda le sol, pensif, et s'alluma de suite une cigarette...

Bureau d'Alenym et de Mugen.

-...Ok, comme tu veux!

Alenym soupira, puis se mit en route.
Son partenaire avait retrouvé son silence du départ, il se demanda si le sourire de tout à l'heure était exceptionnel, ou si encore c'était dû au stress d'arriver dans une nouvelle ville et tout... Il se remémora sa première journée dans la police en observant le ciel pour passer le temps, se disant que ce même temps arrangerait sûrement les choses. De toutes façon, s'il s'avérait que Mugen était toujours aussi silencieux que présentement, Alenym s'y ferait... Ah, mais il parla! Dès les premiers mots, presque par réflexe, le policier tourna la tête vivement. Ce qu'il entendit lui fit d'ailleurs plaisir: pour lui, c'était signe que son coéquipier voulait bien parler et avoir une relation hors du travail avec Alenym. Il espérait avoir vu juste, aussi il s'empressa de répondre:


-Oui oui, bien sûr! On va se côtoyer longtemps, tu sais... Et non, je vais pas te prendre pour un fou... Tu sais, dans cette ville, il y a beaucoup de personnes ayant des pouvoirs, plus que n'importe où ailleurs, en fait, il me semble... Moi-même j'ai un pouvoir, très utile pour le combat, en fait, qu'utile pour le combat, mais... Je n'aime pas combattre, et encore moins tuer. Et avec ce pouvoir, je peux rarement éviter de faire l'un sans l'autre...

Il sourit, conscient que sa tirade était peut-être un peu plus qu'attendu, et que cela avait peut-être empressé Mugen; il s'empressa donc de rajouter:

-Et toi? Si tu me poses la question, c'est que tu en as aussi un, non?


Il arrivèrent au commissariat, Alenym déclara au commissaire qu'il n'y avait eu un aucun problème, et ils entrèrent dans le bureau d'Alenym, désormais également celui de Mugen.


=>Gendarmerie, Bureau d'Alenym

Chii eut un petit sourire, encore une fois, en voyant la réaction enfantine d'Ariel. D'ailleurs, Pia devait l'avoir remarqué car elle lui parlait comme si il était un petit garçon.
Un autre jeune homme, qui venait d'arriver, proposa son aide. Chii le reconnu assez facilement car elle avait vu sa photo quelques minutes avant sur le panneau d'affichage. Elle essaya de lui faire des signes pour lui expliquer que Pia était une flic, et qu'il devait partir. Même si Pia était nouvelle dans la ville et qu'elle ne connaissait peut-être pas son visage, c'était risqué de rester avec quelqu'un de la police qui pourrait lui pointer un pistolet dessus à n'importe quel moment.
Elle abandonna ces gestes parce que le roux disait n'importe quoi.

-On a jamais dit qu'on "sauverait la ville" avec toi et que-

Elle s'interrompit, de nouveau, quand elle remarqua que les deux roux étaient .... collés ?

-Tu m'expliques ce que tu fais là ? Et on a jamais dit qu'on vous accompagneraient !

Mais il ne lui répondit pas et partit avec le blond dans une petite ruelle. Elle se retrouvait seule avec Pia maintenant.

-Complètement cinglés ces deux là ... bon, on va la visiter cette ville alors ? =)

Elle avait enfin retrouvé son calme, les deux gigolos étaient partis et elle se retrouvait de nouveau face à la jeune fille qui l'avait donné rendez-vous ici.

Il suffit à Naganori d'un pas dans la ville pour que tous ses souvenirs reviennent ,cela faisait presque un an qu'il n'avait pas senti la bonne odeur de poudre à canon et qu'il n'avait pas vu toutes les traces qu'un combat pouvait faire .

En effet ,dès qu'il eut des renseignement sur la famille qu'il traqué ,Naganori courut voir si elles étaient vrai .Il passa plusieurs mois à les espionner dans leurs vie courante comme dans leurs vie professionnel guettant le moindre relâchement de la garde rapproché ou la moindre faille permettant de les assassiner sans laisser de traces comme si un tueur invisible les avait poignarder dans le dos ,Naga dut attendre un certains temps avant de tuer le boss de la famille qui avait ruiné sa vie .Il s'était particulièrement voulu d'avoir oublié sa Muramasa à Domingo ,cette arme lui aurait aidé dans ses plans d'une manière phénoménale ,grâce à elle il aurait tout simplement lancé une de ses lames avec une carte sur l'une des personnes qui entouré le chef et la carte explosive serait resté à l'intérieur tandis que la lame l'aurait transpercé et serait sortie avec une autre fenêtre ,la carte aurait explosé et tout serait revenu dans l'ordre .A la place Naga s'entraina à combiner ses techniques et grâce à une Impulsion tout en frappant une carte explosive la force était telle qu'elle pouvait transpercer un rocher ,bien sur il fallait doser la puissance de l'attaque pour que la carte ne se détruise pas dès le départ du coup .Le coup avait la même efficacité que le lancé de carte avec lame ,et pouvait même être plus puissant ,mais sa lenteur fit comprendre à Naga de ne pas en abuser .

Dès que l'objectif de Naganori fut rempli il retourna très vite vers Domingo ,il aimait désormais cette vie de hors la loi et surtout il aimait se battre .Naga à peine entré dans l'enceinte de la ville entendait des bruits sur toutes les familles y comprit sur son ancienne famille : la famille Sciabola ,et sur la mort de certains protagonistes de la famille .Pour en avoir le cœur net il partit chercher quelqu'un dont il savait que l'avis serait véridique : KeiRyo .Il avait entendu qu'il avait rejoint une nouvelle famille mais il voulait être sur des rumeurs qu'il entendait .

*J'espère qu'il ne me prendra pas comme un ennemi ...*

Centre-ville Domingo

QUOI ???
Les réflexions de Pia s'étaient arrêtées à partir du moment où l'autre rouquin "je-me-la-pète" l'avait prise par les hanches, sans rien demander, là ... hop... comme s'ils se connaissaient depuis des lustres. Or ce n'était pas le cas. Pia bouillait, ça ne se voyait pas, mais elle bouillait de colère. Elle réfléchissait à un moyen de lui faire regretter son geste, n'écoutant plus la conversation. Un blond était arrivé, d'après ce qu'en avait conclu son cerveau qui se réservait déjà à une autre tâche, il avait fait ami-ami avec le crétin qui se prenait pour Superman, et les deux zigotos étaient parti en laissant les deux filles là, devant les panneaux d'affichages des primes... Tiens... C'était pas un blond, là, sur une des affiches?? C'était pas plutôt LE blond qui venait de partir avec l'imbécile heureux?
Encore une occasion de mener à bien son boulot dans ce bled bourré d'ordures. Remarque, elle s'en foutait pas mal. Mais ça on évitera de le dire à ce cher Sheldrake qu'elle adore tant, hein.
La flic se retrouvait donc là, comme une statue gelée par le contact du roux (qui aurait plutôt dût la chauffer en fait... Tout l'inverse de ce qu'il aurait put s'attendre.), regardant les deux hommes partir comme deux vieux potes avec un air méprisant à couper un parpaing. Lorsqu'elle les perdit de vue, elle se tourna vers Chii, qui avait plutôt l'air contente de se retrouver enfin tranquille. Mais on ne touche pas Pia sans se prendre une tarte de Pia. Elle sourit à la mafieuse d'un air qui ne cache pas ses intentions.
- Et si on visitait la ville en commençant par suivre ces deux crétins? J'ai deux mots à dire à ce cher ... Ariel c'est ça?
Elle la prit par le bras et l'entraina sans attendre de réponse à la suite des deux compères. Soit elle arrivait derrière en lui foutant deux claques sur le crâne, soit elle l'interpellait et lui foutait deux claques dans la tronche, soit elle l'interpellait, lui demandait de s'expliquer, et lui foutait ensuite deux claques dans la tronche, ça allait dépendre de comment Chii allait la calmer...
Et tout ça lui faisait oublier sa bécane, haha.

=> ruelles (Là où on parle de conquette du monde.)

Un bruit de moteur se fit entendre au loin, une moto arriva, a vive allure, avant de faire un dérapage. Bagages attachées à l'arrière, la moto était ainsi stoppée sur le bord de la ville. Une jeune fille avec un casque et une veste en cuir était ainsi arrêtée, regardant la ville de loin. Elle enleva son casque, et une masse de cheveux rose retomba ainsi sur son visage assez jeune. Elle soupira, une soupir qui marque le retour dans cette ville de malade, un soupir qui marque son soulagement d'être arrivé à une station essence, un soupir pour dire " me voila ".
Elle remit son casque, et redémarra directement, sans attendre plus, vers le commissariat, faisant voler un nuage de poussière et de gaz d'échappement.

=> Place noire

Heï sortit d'un bus c'étant arrêté à l'entrée de la ville.
C'était plutôt bien, car elle ne voulait pas voir son père tout de suite, bien que ça lui coutait d'aller retrouver son vieux ronchon de père.
Elle en profita pour regarder le panneau d'affichage et regarder les différentes traces de pas présentes: Il y avait eu du monde et en grands nombres.
Mais elle s'en fichait, car il n'y avait plus personnes dans les environs a part quelques personnes attendant un nouveau bus.
Elle aussi attendait, celui de Fortenze.
Aux USA on lui avait parlé d'un centre d'équipement révolutionnaire installé à Fortenze, la nouvelle cité technologique mondial. Et elle voulait y aller.
La CIA attendrait.
une fois le bus arriver, Heï monta dans ce dernier avec un petit sourire en saluant le conducteur en hochant la tête avant de s'installer a l'arrière du véhicule. Elle se mit a regarder le paysage défilé devant ses yeux tout en se demandant comment elle pourrait exposer la nouvelle qu'elle apportait a son père.

Fortenze, Hall d'entraînement.

Supprimé

Cour derrière la Mairie

On lui avait recommandé de rester à la maison le temps que ce qui se passait au dehors se termine, mais Mira n'avait pas résisté à la tentation. Sa curiosité avait pris le dessus et elle était sortie. Ce qui était arrivé à l'hélicoptère lui avait fait aisément comprendre que la Place de la Fontaine était un lieu à éviter. Elle était donc passée par derrière et transformée en samoyède pour parcourir la ville en toute discrétion. Les oreilles dressées, elle guettait le moindre son. Heureusement, dans la direction où elle allait, il n'y avait que peu de dégâts. Alors la jeune fille en avait profité pour reprendre sa forme humaine et recommander aux habitants de ... fuir la ville, tout simplement, le temps que ça se calme. Les citoyens étaient paniqués, cette panique se faisait ressentir par une certaine tension dans l'air. Mira avait ensuite repris sa forme canine et se dirigeait vers l'entrée de la ville. Peut être y aurait-il des gens à prévenir du massacre qui tenait place dans cette ville.
Tout cela faisait un pincement au cœur de la jeune fille. Pourquoi tous ces morts ? Des tonnes d'innocents avaient du mourir au nom d'un groupes de fous furieux...
Arrivée à destination, Mira reprit à nouveau forme humaine et se fit attentive et prudente. Elle s'assit sur un muret en attendant. De toute façon, elle avait besoin de prendre l'air.
Elle espérait qu'il ne pouvait rien lui arriver, ici.

Finalement, rien n'était arrivé. Ni méchant assoiffé de sang, ni citoyen ou nouveau venu en ville. Elle avait néanmoins entendu deux ou trois choses intéressantes. Elle prit sa forme canine pour retourner d'où elle venait.

Mairie

=> Maison de Sheldrake

Saya s'était faîte semée par le vieux. Elle se dirigeait instinctivement vers l'entrée de la ville sans vraiment savoir pourquoi. De toute façon, elle n'avait aucune chance de retrouver Sheldrake dans la ville qui commençait à se transformer en champ de ruine. Mais ce n'était pas la pensée principale qui occupait son cerveau. En effet, l'idée de passé un sale quart d'heure sur le fait d'avoir perdu de vue la personne qu'elle doit protégé, ne l'enchantait guère. Elle allait encore devoir faire semblant de s'intéressait au sermon. Il faut dire qu'elle ne s'intéressait qu'à peut de chose depuis l'accident avec son ancien protégé. Elle se sentait coupable et avait donc pris la décision de ne plus s'attacher à quelqu'un. Ses divagations durèrent un bon moment avant que son attention soit reportée sur autre chose.

Saya après un long moment de trajet venait enfin d'arriver à l'entrée de la ville. Ici, elle décida de se mettre en hauteur pour avoir une meilleure vue. Le toit d'une petite maison qui était encore debout fit l'affaire. Là, elle pouvait mieux observer la ville. C'était le chaos total. Des maisons et bâtiments en ruines, des ruelles ravagées, des victimes dans tout les camps, même les civils innocents. C'était un massacre. Mais que faisait la police ? Et la mafieux ne se défendaient-ils pas ? Et l'aide des villes voisines ? Saya ne comprenait pas. Cela faisait peu de temps que la garde du corps avait emménagé dans la ville. Elle ne connaissait pas encore assez bien l'organisation d'ici pour juger mais elle pouvait au moins constater. Et pour le moment, ce n'était guère positif. Mais ce n'était pas non plus le moment de penser à cela. Un bruit d'hélicoptère se faisait entendre et était de plus en plus fort.

Un hélico s'approchait de l'entrée de la ville. La jeune femme se coucha sur le toit afin de se cacher. D'ici, elle pouvait voir l'engin se poser. Un homme attendait et une jeune fille sortit de l'hélico qui repartit juste après. D'un rapide coup d'œil, elle jugea que la fille devait être plus jeune qu'elle. De l'endroit où elle se trouvait, elle n'entendait pas très bien leur conversation mais une de leur phrase attira plus l'attention de la garde du corps. Elle ? De qui parlaient-ils ? Et d'abords, qui étaient-ils ? Saya n'en avait aucune idée mais elle comptait bien le savoir. Si elle n'était pas utile au matou pour le moment, elle le sera d'un autre moyen pour autre chose. Et puis, elle n'avait rien à faire de toute façon. Elle fixa la jeune demoiselle un long moment.

Soudain, elle se décida enfin à bouger. D'un pas rapide et silencieux, elle rejoignit les deux personnes. Elle dit d'un ton ni amical, ni agressif mais qui n'était pas à prendre à la légère.

"-Que faîtes-vous là ? Le moment est mal choisi pour du tourisme..."

Termina-t-elle avec une pointe d'ironie.

Saya n'était guère convaincue par la conversation qui commençait à s'installer. Il fallait dire qu'elle n'était pas passionnée par grand chose à par ses armes à feu depuis quelques années. Il serait peut-être temps que ça change un peu mais bon...ce n'est pas le sujet. Elle fixa un moment les deux jeunes gens sans grande conviction. Puis la phrase de la petite blonde lui fit esquisser un sourire. Ce n'était le problème majeur de son actuelle mission. Il était vrai que le matou ne voulait pas être protégé et que Saya n'avait pas envie de protéger une telle personne. Mais, il n'y avait pas que cela. La garde du corps n'avait plus vraiment de raison d'exercer son métier actuel. Elle le faisait juste pas obligation.
Elle lâcha un nouveau soupire avant de dire.

"-Ce n'est pas le principal problème. Disons que le soucis vient plus de moi, je pense..."

Elle tourna son regard vers la ville. On pouvait voir de la fumée s'échapper des lieux en ruine. Elle n'avait aucune idée de ce qu'il se passait au loin. La jeune femme espérait que le vieux et l'autre un peu moins vieux aillent bien, après tout si ce n'était pas le cas, cela risquait de fortement l'ennuyer. Elle redirigea son attention sur la jeune fille et l'homme. Une question lui vint à l'esprit.

"-Cela ne me regarde probablement pas mais...où comptiez-vous aller dans la ville ?"

(post pourri désolée XD)

[HRP]Meuh non, c'est très bien, ça relance la discussion XD Malheureusement elle va se terminer là ^^'[/HRP]


"-Cela ne me regarde probablement pas mais...où comptiez-vous aller dans la ville ?"

Voilà que le sujet de la discussion changeait de nouveau. Ce n'était pas facile de dialoguer avec cette personne.

"Je ne peux pas vous le dire, désolée. Même si vous avez l'air de vouloir également défendre cette ville, je préfère garder secret le lieu où je dois me rendre."

Elle ne pouvait pas lui dire qu'elle ne s'avait pas vraiment elle-même où elle allait mettre les pieds. De toutes les manières, il était clair qu'il valait mieux que la garde du corps ne sache rien. Elle et Laya n'étaient pas dans le même camps. Qui pourrait dire qu'il n'y aurait pas quelques manigances dans l'ombre.
De son côté Lloyd ajustait une antenne téléphonique portative. Le réseau était quasi innexistant ici à l'heure actuelle, ils devaient donc se débrouiller pour émettre.

"Lloyd, avez-vous terminé?
"Non, pas encore Madame. Encore quelques secondes...
"Dépêchez-vous, s'il vous plait."
*Nous devons faire vite, sinon nous n'aurons plus rien à défendre.*
"Ca y est Madame."

Laya sortit son portable et composa le numéro de Gioli. Deux sonneries plus tard, ce dernier décrocha.

"Bonjour Monsieur, ici Laya Dayrisch. Je suis arrivée à l'entrée de la ville. Pouvez-vous m'indiquer la chemin?"

Elle esaayait d'être le plus vague possible aux oreilles de la garde du corps, tout en restant compréhensible à celles de Gioli.

"Bien. Très bien. Merci, je serai là-bas rapidement."

Puis elle racrocha.

"Je suis désolé Mademoiselle Forland, mais je dois vous quitter. Ce fut un plaisir de discuter avec vous."

Sur ces mots, elle s'engoufra dans la ville, accompagnée par son garde du corps, aux aguets.


Les planques - QG Gioli

Midnight arriva a pied a l'entre de la ville, il avait etait deposer un peu plus loin par un automobiliste qui l'avait pris en auto-stop ce qu'il vus la etait tres different de la ville qu'il s'imaginer depuis le debut de son voyage la fummé noir qui s'elever deja depuis l'horizon etait beaucoup plus importante de cette endroit que nulle part ailleur.

Apparament la ville contenait en son seins une attaque,de qui et pourquoi midnight s'en contreficher royalement les seul penser qu'il avait etai diriger a son grand frere avec la seul inquietude et qu'il soit en vie d'ailleur il n'etait meme pas sur qu'il se trouver dans cette ville il parti dans la meme direction que son frere avait pris en entrant pour la premiere fois dans cette ville c'est a dire la place de la fontaine.

place de la fontaine

Saya observait les geste de l'autre garde du corps. Il était en train d'installer une antenne téléphonique. Elle n'y avait pas pensé jusque-là mais toutes les lignes étaient coupés cela risquait d'être dur pour la communication avec ses supérieurs. Elle savait déjà ce qu'elle ferait après avoir quitté la demoiselle blonde. Il fallait qu'elle retourne à son poste de garde du corps auprès du matou. Saya resta silencieuse pendant l'appel de miss Dayrish. Elle ne comprenait pas grand chose de sa conversation et n'en avait rien à faire. Cela ne la regardait en aucun cas. Puis le jeune fille s'excusa auprès de Saya et lui dit au revoir. La garde du corps répondit très poliment à un "au revoir" tout en regardant les deux personnes s'éloigner. La jeune femme ne perdit pas de temps à contempler le paysage de la ville dévastée, elle partit directement en direction de l'endroit où devait sûrement se trouver Sheldrake.

=>Bar Dionisio

Daichi arriva dans une ville où les explosions étaient fréquente et les endroits enflammé ne manquait pas,il ne pouvait pas savoir la cause car il venait d'arrivé mais il entendit des enfants crié.Il courut donc dans la direction qu'il pensait être la bonne à la vue de ses cris

Giardino per banbini

La fameuse Domingo. Nirina en avait entendu parlé, durant sa quete pour retrouver l'assassin de ses parents et ces derniers lui en avait aussi parlé comme etant un repere de famille, mais que c'etait dangereux à cause de tous ces policiers qui rodaient. C'etait la ville ou il y avait la principale clientele de sa vente d'armes.
Le jeune homme commença par regarder autour de lui, commençant deja à analyser la ville, en tout cas, ce qu'il en voyait. Elle avait l'air d'etre grande. Ho, une main dans ses cheveux pour les mettre en arriere.

*Il faudrait que je pense à me les faire couper.*

Il se dit ça à chaque fois, mais quand il repense, il ne pourrait plus se travestir aussi facilement qu'il le faisait maintenant.
Nirina leva les yeux vers le ciel. Mmmh, ça commençait à se couvrir serieusement. ils allaient surement se recevoir une mega saucée !

"Maitre, où êtes-vous ?"

*?*

Apparemment il y avait quelqu'un dans la rue adjacente. Nirinase risqua de jeter un coup d'oeil. Un homme brun se tenait là. Il avait l'air d'appeler quelqu'un. (et oui il est niais =D) Il le detailla de haut en bas. Cheveux noirs, Des yeux d'un noir intense, dont on n'arrivait pas à voir la pupille. Etrange d'avoir des yeux comme ça... Il avait un air nonchalant... mais cette façon d'etre cache generalement quelque chose de louche. Surement un type fort... halala oui c'est qu'on est au repere des familles.
Nirina esperait qu'il ne devrait pas se battre. Il n'aimait vraiment pas ça.